Rabat/Temara Cours de soutien à domicile, café ... Comptabilité / Gestion Elle les « variabilise ». Fiche 20 Le tableau de bord et reporting En effet, les différents services d’une entreprise ne sont pas nécessairement en sur ou sous activité au même moment. L’élargissement du contrôle de gestion en comparaison de la définition du Plan comptable général correspond aux évolutions que connaît cette discipline ces dernières années. 2. Selon la deuxième méthode, on commence par valoriser les produits joints en fonction de leur valeur marchande diminuée des coûts spécifiques: -  chutes de tôle = 240 – 10% * 240 =  216 €, Puis on calcule par différence le coût du produit principal : - transformateurs = 13 500 - 216 = 13 284 €. Il doit également être ventilé sur l’année selon une périodicité pertinente. Point de méthodologie : la détermination d’un coût cible se fait en plusieurs étapes : 1. Cette méthode permet ainsi de supprimer les fonctions inutiles et de ramener à leur juste importance des fonctions, certes nécessaires, mais secondaires. De même que pour la matière, le calcul repose sur l’utilisation de standards techniques (temps et niveau de qualification de la main d’œuvre nécessaire pour la fabrication d’un produit) et des standards monétaires (coût salarial estimé, cotisations sociales comprises). Selon cette méthode, non seulement les charges variables, mais également les charges fixes directes sont réparties entre les différents produits. Economie et Gestion est un site dédié aux étudiants du parcours économie et gestion où il est intéressé à donner des cours de chaque matière et avec des exercices et TD et des résumés et les ouvrages économique, ainsi que sur des examens de chaque semestre, à cet effet notre objectif est d’aider l’étudiant à effectuer une révision complète et avec nos meilleurs vœux à tous les étudiants. Lorsqu’il existe des stocks dans l’entreprise (matières premières, produits intermédiaires ou finis), le calcul du coût de revient nécessite de respecter la hiérarchie des coûts et de calculer successivement : -  le coût d’achat des matières achetées = prix d’achat + coûts d’approvisionnement de la période, -  le coût de production des produits fabriqués = coût d’achat des matières consommées + coûts de fabrication  de la période, -  le coût de revient des produits vendus = coût de production des produits vendus + coûts de distribution de la période, Pour passer du coût des matières achetées au coût des matières consommées, on utilise les comptes de stock de matière première : stock initial + coût des matières achetées = coût des matières consommées + stock final De la même façon, pour les produits finis on a : stock initial + coût des produits finis fabriqués = coût des produits vendus + stock final, Stock de MP                                            Stock de PF. Mots clés : coût cible, prix cible, résultat cible, valeur perçue, fonction. Elle doit ainsi choisir les indicateurs pertinents, déterminer des valeurs de comparaison et décider de la périodicité d’élaboration du tableau de bord. Elle se décline : - dans le long-terme (> 5 ans) : plan stratégique, -  à moyen terme (2 à 4 ans) : plan opérationnel. indirectes fabrication = 2 800 + 400 * 20 + 4 200 * 400 / (400+300) = 13 200 €. On regroupe, d’une part les trois premières années, et d’autre part les trois suivantes : -  point moyen du groupe 1 : x1 = (1 + 2 + 3) / 3 = 2, -  point moyen du groupe 2 : x2 = (4 + 5 + 6) / 3 = 5, Il faut donc résoudre le système d’équations suivant : y1 = a x1 + b631 = 2a + ba = 167 y2 = a x2 + b1 131 = 5a + bb = 298, La méthode des moindres carrés est plus complexe mais plus précise. Leur imputation pose problème lorsque le volume d’activité réel s’éloigne du niveau pour lequel la structure avait été dimensionnée. -  le coût spécifique permet de décider du maintien d’une ligne de production. + quote-part des frais standards des centres d’analyse. Cette différence a deux origines : d’une part les quantités vendues sont supérieures aux prévisions, d’autre part le prix de vente réel est également supérieur à celui qui était prévu. Choix d’un résultat cible en fonction des objectifs de rentabilité de la direction. De plus, elle est recommandée par le plan comptable général. Attention à ne pas confondre prix, coût et charge : - un prix est le résultat d’une transaction avec une personne extérieure à l’entreprise (prix de vente) - une charge est une consommation de ressources par l’entreprise (ex : achat de marchandises) - un coût est une accumulation de charges sur un produit ou un service. Fiche 7 Investissement et financement : planification, budgétisation et contrôle cours Le contrôle de gestion est une forme de contrôle organisationnel. Le choix de l’unité d’œuvre est propre à chaque centre d’analyse. Pour chaque budget, nous envisagerons successivement : -       une phase de prévision qui prend en compte les objectifs de l’entreprise, les contraintes internes etexternes, les données des budgets situés en amont ; -       une phase de budgétisation qui valorise les prévisions précédentes ;- une phase de contrôle qui confronte prévisions et réalisations. Ils sont tous régulièrement actualisés pour correspondre le plus exactement possible aux exigences … Leur élaboration s’effectue en collaboration entre la direction, le contrôleur de gestion et les chefs de service au cours de navettes budgétaires. Ainsi, si on considère que l’activité normale correspond à un taux de remplissage de 80%, le coefficient d’imputation rationnelle s’élève à 30 / 80 = 37,5 %. Aujourd’hui, cette situation a évolué et les charges indirectes représentent une part de plus en plus importante dans le montant des coûts (R&D, marketing, approvisionnement, qualité, …). Il n’existe pas de tableau de bord standard : chaque entreprise (voire chaque département) doit construire le sien « sur-mesure ». Tous les coûts étudiés jusqu’à présent ont pour point commun d’être des coûts réels, calculés a posteriori (on parle également de coûts constatés) dans le but d’analyser l’activité passée. Cette différence ne disparaît pas mais est présentée séparément du coût des produits. Le volume de commande est constant. C’est le cas par exemple du coût du service « gestion des ressources humaines » : -  il n’existe pas de clé de répartition pertinente pour répartir son coût entre les différents produits (la maind’œuvre directe ne représente souvent qu’une faible part des effectifs d’une entreprise). Inversement, un budget établi en terme de marge fait coïncider l’intérêt des vendeurs avec celui de l’entreprise mais est plus complexe à établir. Les opérations sont représentées par les carrés, reliés entre eux par des flèches représentant des contraintes de succession. Reprenons l’exemple de la société Floralia, dont les marges prévues et réalisées sont les suivantes : (1) 33,8261 = 778 000 / 23 000                                   (2) 33,5349 = 721 000 / 21 500. Dans le cas de la construction d’un navire, le chemin critique est : A Æ D Æ E Æ J. Tout retard pris sur l’une de ces quatre opérations se répercutera inévitablement sur la date de fin du projet. En somme, le contrôle de gestion est métabolisé … MSCS – CF indirectes. effectuer son stage de 2 pour se rendre à ce rendez-vous depuis son domicile, situé à Bayonne. Parfois, une simple représentation graphique suffit, sinon il faut recourir à des techniques de lissage pour la faire apparaître (moyennes mobiles par exemple). Une charge directe est une charge qui peut être affectée sans ambiguïté au coût d’un produit (matières premières, etc …). Les charges fixes restent constantes quel que soit le volume d’activité de l’entreprise (loyer, amortissement, services administratifs). A lui de savoir les utiliser à bon escient …. Fiche 19 Les prix de cession internes La méthode des centres d’analyse est une méthode de calcul du coût complet d’un produit, mais il en existe d’autres. Mots clés : écart économique, écart sur volume, écart sur frais, écart sur budget, écart sur activité, écart sur rendement. La commande est lancée lorsque le niveau du stock devient inférieur à un certain seuil (appelé « point de commande » ou « stock d’alerte »). 310 talking about this. Il prend appui sur le référentiel de compétences en Master. contrôle de gestion cours sous forme de PDF, des résumés en fiches accompagné des exercices corrigés.. c’est quoi le contrôle de gestion: contrôle de gestion comme un « ensemble de dispositions prises pour fournir aux dirigeants et aux divers responsables des données chiffrées périodiques caractérisant la marche de l’entreprise. Mots clés: charges indirectes, répartition, centre d’analyse, unité d’œuvre, coûts à base d’activités, activité, inducteur. 2. Î le circuit est rentable à partir d’un chiffre d’affaires de 5 000 € (soit 14,3 participants). Mots clés : marge sur coût variable, seuil de rentabilité, marge sur coût spécifique, portefeuille produits. Les données réelles pour le même mois s’établissent ainsi : -  charges totales : 49 400 euros (dont 20 000 fixes et 29 400 variables) pour 950 heures-machines.- production réelle : 250 pièces A et 120 pièces B, On a donc :     coût  standard = 50 000 euros            = 1 000 * 50, coût préétabli = 43 000 euros            = (250*2 + 120 *3) * 50 = 860 * 50, coût réel          = 49 400 euros            = 950 * 52, Î Ecart sur volume = 43 000 – 50 000 = - 7 000 euros, Î Ecart économique = 49 400 – 43 000 = 6 400 euros, -    sous-écart sur rendement =  (950 – 860) * 50 = 4 500 euros, -    sous-écart sur activité = (51,0526 - 50) * 950 =  1 000 euros, -    sous-écart sur frais = (52 – 51,0526) * 950 = 900, Avec 51,0526 = (20 000 + 30 000 * 950/100) / 950. Le contrôle budgétaire est un outil utile à la gestion d’une entreprise mais il présente plusieurs limites : -  lenteur : l’information n’est disponible qu’après des délais importants (plusieurs semaines). On distingue deux catégories de projets : -  la conception et la réalisation d’un produit unique destiné à un client : paquebot Queen Mary, viaduc deMillau, …. En particulier, l’activité de chaque centre n’est pas toujours homogène et l’unité d’œuvre choisie ne remplit son rôle que partiellement  car elle ne peut pas représenter l’ensemble des activités du centre. Mots clés : charges incorporables,charges non incorporables, charges supplétives,charges fixes / variables, charges directes / indirectes, coût d’achat / de production / de revient, coût constaté / préétabli, coût partiel / complet, coût variable, coût spécifique. Jusqu’à présent, nous avons calculé le coût complet d’un produit en lui imputant les charges de la période étudiée. -       utilisation d’une clé de répartition pour les charges indirectes : approvisionnement, fabrication,distribution, administration, …. Ainsi, le budget des ventes est le plus souvent élaboré après une série d’allers-retours entre les services commerciaux et le contrôleur de gestion. L’écart global s’analyse alors de la façon suivante : Ecart      = coût réel – coût standard = (coût réel – coût préétabli) + (coût préétabli – coût standard), écart                                        écart sur, économique                                    volume, NB : l’analyse de l’écart sur volume ne présente pas d’intérêt particulier. Lorsque la production se fait par lot ou à l’unité, il est possible de valoriser précisément le montant des en-cours de production. impact de la politique salariale Coût de l'UO = coût du centre pour une activité normale / nombre d’UO à l’activité normale Dans la mesure où les centres d’analyse incorporent une part non négligeable de charges fixes, il peut être nécessaire d’établir un budget flexible, c’est-à-dire un budget tenant compte des différents niveaux d’activité possible. Il est donc possible d’avoir plusieurs seuils de rentabilité … ou même aucun. Le résultat de l’exploitation de l’hôtel sera alors analysé comme suit : -  prix de vente des nuitées :    45 000 €, -  coût des nuitées : 4 500 + 30% * 100 000 = - 34 500 € Résultat avec imputation rationnelle     10 500 € Coût de la sous activité : 70 % * 100 000 =            - 70 000 €, Résultat net =                                                        59 500 €. En notant MSCV la marge sur coût variable unitaire, on obtient : SR = CF / MSCV Exemple : -  un circuit touristique est vendu 350 € par participant. Fiche 13 L’analyse de l’écart sur un centre d’analyse, Fiche 14 L’analyse de la masse salariale Craignant d’arriver en retard à son entretien, elle décide alors de ne pas s’arrêter comme elle l’avait prévu initialement mais de continuer sa route jusqu’à Bordes. Il suffit ensuite de remplacer x et y par les coordonnées des deux points ainsi obtenus et de résoudre le système de deux équations à deux inconnues qui en résulte. Il est également possible de réaliser une maintenance préventive afin d’éviter les pannes et de retarder au maximum la différenciation des produits pour limiter le nombre de références à stocker (banque d’organes, …). 95%), -  il faut choisir des indicateurs adaptés au destinataire du tableau de bord. chapitre suivant sur le coût spécifique). Lorsque la droite du coût de revient est au-dessous de celle du chiffre d’affaires, l’entreprise est bénéficiaire. •  en cas de sous-activité, l’écart est positif (CF réelles > CF imputées) et on parle de coût de sous-activité. Le calcul du seuil de rentabilité est particulièrement utile pour les entreprises à charges fixes élevées (hôtellerie, transport aérien ou ferroviaire, …). Contrôle de gestion / LP Mme S. Benjelloun 0 UNIVERSITE SIDI MOHAMED BEN ABDELLAH FACULTE DES SCIENCES JURIDIQUES ECONOMIQUES ET SOCIALES - FES - SUPPORT DE COURS Enseignante : Mme S. Benjelloun Année Universitaire : 2016 – 2017 Licence professionnelle Filière : Sciences des Techniques Comptables et Financières Matière : Contrôle de Gestion . Un budget en volume a l’avantage d’être facile à établir et à exploiter mais il n’incite pas nécessairement les vendeurs à agir dans l’intérêt de l’entreprise. En définissant, pour les centres de responsabilité et les processus, des couples ressources-résultats. Plan du cours I­ Contrôle de gestion stratégique II­ Contrôle de gestion opérationnel : gestion budgétaire 2 Chapitre I : Généralités sur la gestion budgétaire Chapitre II :Budget des ventes Chapitre III : Budget de production A­ Standards et coûts préétablis B­ Analyse des écarts et contrôle budgétaire et. L’opération « début » et toutes les opérations qui lui sont immédiatement reliées (l’opération A dans l’exemple du navire) sont affectées d’une date au plus tôt de zéro. Pour chaque élément de coût direct (matière première, MOD, …) l’écart peut être analysé de façon classique en écart sur coût et écart sur quantités : -  écart sur coût = (coût unitaire réel – coût unitaire standard) * quantité réelle, -  écart sur quantité = (quantité réelle – quantité préétablie) * coût unitaire standard. » ou « comment analyser les écarts par rapport à un budget ? Exemple : il faut 10 mn de temps de travail à un ouvrier rémunéré 11 euros de l’heure (cotisations sociales comprises) pour fabriquer un article. Pour trouver la valeur des coefficients a et b, la méthode la plus simple est celle de la droite de Mayer. Une activité est un ensemble de tâches cohérentes (présentant la même finalité). Il est atteint pour q = ? Un contrôle des connaissances ultérieur au cours est obligatoire, pour veiller à ce que l’ensemble des participants aient un niveau de connaissances minimum après avoir suivi le cours. C’est le cas pour la zone comprise entre l’activité zéro (l’entreprise ne réalise pas de CA mais doit quand même payer 2 000 € de charges fixes) jusqu’au seuil de rentabilité. Exemple : si il faut 500 grammes de sable pour fabriquer une coupe en cristal mais que 15% des coupes fabriqués sont rejetées au contrôle qualité ; alors la quantité standard de sable nécessaire pour fabriquer une coupe de qualité satisfaisante est de 588 grammes. Les principaux outils d’étude de conjoncture sont les indices précurseurs (mise en chantier de bâtiments par exemple) et les enquêtes de conjoncture. Dans le cas où la MSCS est négative, il faut envisager à terme de supprimer l’activité déficitaire dans la mesure où sa suppression entraînera la suppression des charges fixes spécifiques. Appliquée à l’exemple précédent, la méthode donne les coefficients suivants : -  1er trimestre : 0,68    - 3ème trimestre : 1,90, -  2ème trimestre : 1,00  - 4ème trimestre : 0,42. Ainsi, le calcul de coûts préétablis, permet : - de contrôler les conditions d’exploitation (analyse des écarts entre coût standard et coût réel), - de servir de base pour l’élaboration de devis, - de gagner du temps dans le calcul de coûts réels. Cette résolution peut se faire de deux façons : soit de façon itérative, soit en posant un système d’équations. En effet, on pratique l'audit à un moment … On peut alors chercher à résoudre le problème en amont et supprimer les causes qui rendent le stock nécessaire. -  elle s’est assurée de disposer des moyens nécessaires à la réalisation de son objectif (carburant, cartebancaire, …). -  valorisation des produits joints à partir de leur prix de vente, diminué des coûts spécifiques deproduction et/ou de distribution. Le choix de la première méthode sous-entend que l’entreprise réalise une marge sur les produits joints. Il faut donc l’adapter aux besoins de l’entreprise. Remarque : le calcul du seuil de rentabilité repose sur des hypothèses fortement simplifiées. Cs AR = coût théorique d’une UO à l’activité réelle (obtenue grâce au budget flexible) Cs = coût standard d’une UO (activité normale). NB : Seule la différence entre le prix de vente et le coût de revient porte le nom de « résultat ». Il faut donc choisir celui qui permet de répondre de façon pertinente à la question posée. Si plusieurs produits sont vendus, chacun apporte une marge qui concourt à l’absorption des charges fixes de l’entreprise (non ventilées par produit) : résultat = ? Les charges fixes correspondent à une structure de l’entreprise. Fiche 11 Les coûts préétablis » mais : -  faut-il poursuivre la fabrication de tel produit, apparemment déficitaire ? : loyer). Tableau de bord et budget sont des outils complémentaires, comme peuvent l’être une carte routière et le tableau de bord d’une voiture. MSCV – CF. En contrôle de gestion, les dirigeants et les managers doivent être des spécificateurs éclairés, les maîtres d’ouvrage des systèmes de gestion. L’écart sur coût de production s’élève à 152 € (favorable) et peut être décomposé comme suit : -  écart sur volume = (800 – 1 000) * 2 = - 400 € (favorable) - écart économique = (2,31 – 2) * 800 = 248 € (défavorable) L’écart économique provient de la matière : -  écart sur coût = (1,1 – 1) * 2,1 = 0,21 € pièce, soit 168 € pour les 800 pièces fabriquées (défavorable), -  écart sur quantités = (2, 1 – 2) * 1 = 0,10 € pièce, soit 80 € pour les 800 pièces fabriquées (défavorable). Par convention, on intègre : -       les temps improductifs imposés par les contraintes techniques (réglage des machines) dans le standardtechnique (temps standard). Les charges indirectes sont les suivantes : Pour calculer le coût de revient des produits A vendus il faut procéder par étapes : Il faut commencer par calculer le coût d’achat de la matière M : coût d’achat = prix d’achat + frais d’approvisionnement (de la période) = 700 * 10 + 3 500 = 10 500 €. Dans ce cas, il suffit de remplacer les valeurs observées par leur logarithme afin de retrouver une fonction linéaire. Fiche 1 La gestion budgétaire Celle-ci a été choisie pour atteindre un certain niveau d’activité. Your name. -  suivre le coût du projet et proposer des solutions correctives en cas de dérive. En revanche, dès que la croissance de l’entreprise nécessite le recours à la délégation, les dirigeants doivent mettre en œuvre des outils leur permettant : - d’une part, de collecter les informations nécessaires pour prendre des décisions pertinentes, - de s’assurer que leurs décisions sont bien appliquées (incitation et contrôle). Fiche 18 Le contrôle de gestion par les activités (xi– x)(yi – y) / ? Assez rapidement, elle se retrouve ralentie par des travaux sur l’autoroute et n’atteint finalement Orthez qu’au bout de plus d’une heure de route. Cette page compte des milliers d'ebooks gratuits (ouvrages, cours … Ces données doivent être présentées de la façon la plus claire possible de façon à permettre une consultation rapide : -  un pictogramme vaut mieux qu’un graphique. •  en cas de suractivité, l’écart est négatif (CF réelles < CF imputées) et on parle de boni de suractivité. Une prévision précise peut donc rarement résulter d’une simple extrapolation du passé mais celle-ci peut néanmoins constituer une première étape dans le processus de prévision. La constitution de stocks est jugée nécessaire pour pouvoir éviter les risque de ruptures d’approvisionnement (matières premières), livrer plus rapidement les clients (produits finis), remplacer sans délais les pièces défectueuses, etc …. … Mots clés : activité normale, activité réelle, coefficient d’imputation rationnelle, coût de sous-activité, boni de suractivité. Les méthodes telles que le PERT ou les potentiels METRA permettent d’organiser dans le temps la réalisation d’un projet, c’est-à-dire : -  de définir le chemin critique, c’est-à-dire les taches pour lesquelles un retard de réalisation se répercutesur le projet dans son ensemble. En effet, ceux-ci peuvent être tentés d’accorder des remises trop importantes pour gonfler le volume de leurs ventes. En reprenant l’analyse des charges en charges fixes et variables, il est possible de déterminer un niveau d’activité à partir duquel l’entreprise commence à réaliser un bénéfice : il s’agit du seuil de rentabilité. La politique d’approvisionnement génère 2 types de coûts : -  coûts de possession du stock (loyer de l’entrepôt, financement du stock, …). Contrôle de Gestion assure souvent la gestion des systèmes d'information de gestion Le profil du Contrôleur de Gestion devient de plus en plus opérationnel. Nous abordons dans ce chapitre des difficultés de calcul du coût complet dans le cadre de la méthode des centres d’analyse. En fait, elle en a vendu 11 000 flacons avec une marge unitaire de 26 €, la différence de marge étant uniquement due à la variation du prix de vente. Identification des besoins des clients et des caractéristiques d’un produit lui donnant satisfaction. Les valeurs atteintes par les indicateurs retenus ne seront utiles que si elles sont mises en perspective par rapport : -  à une valeur cible (objectif à atteindre), -  et/ou à un seuil d’alerte (état critique qui nécessite une mesure corrective), -  et/ou à un historique pour suivre l’évolution. Les deux méthodes étant similaires, seule celle des potentiels METRA sera développée dans ce chapitre. Les opérations suivantes sont alors remplies successivement : Date au plus tôt d’une opération = date au plus tôt de l’opération précédente + durée de l’opération précédente. La méthode est identique dans les deux cas. Exemple : ventes de jus de fruits (en milliers de bouteilles). En revanche, lorsque la production se fait en continu, il faut avoir recours à un coefficient d’équivalence. Ap = activité préétablie (nb d’UO nécessaires en théorie pour produire la quantité réelle) On obtient : -  écart sur rendement = (Ar – Ap) * Cs- écart sur frais = (Cr – Cs AR) * Ar.

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