Les forts de Metz constituent deux ceintures fortifiées autour de la ville de Metz en Lorraine[note 1]. Metz devient une place forte au XVIe siècle, avec la construction de la citadelle, peu après le siège de Charles Quint de 1552. Des tunnels souterrains relient souvent les différentes structures entre elles. Cette garnison allemande, qui oscille entre 15 000 et 20 000 hommes au début de la période[4], dépasse 25 000 hommes avant la Première Guerre mondiale[5]. Au cours du XIXe siècle, les progrès de l’artillerie obligèrent les ingénieurs français à concevoir un nouveau système défensif autour de la place forte de Metz, la première ceinture fortifiée. Le fort de Queuleu [2] est situé au sud-est de Metz, sur le contrefort compris entre le ruisseau de la … La Feste Mercy, rebaptisée Feste Freiherr von der Goltz en 1911, puis groupe fortifié La Marne en 1919, est un ouvrage militaire situé près de Metz, dans le bois entre Jury, Mercy et Ars-Laquenexy.Il fait partie de la seconde ceinture fortifié des forts de Metz et connut son baptême du feu, fin 1944, lors de la bataille de Metz. Le magasin aux vivres, construit en 1559, fait partie intégrante de la citadelle militaire et témoigne de l’organisation rationnelle de l’intendance des garnisons militaires sous l’Ancien Régime. Alors que Metz se débarrasse de son carcan bastionné hérité du XVIIIe siècle, un palais de l’intendance, un palais du Gouverneur, un nouvel hôpital militaire et de nombreuses casernes se construisent pour répondre aux besoins de la nouvelle garnison allemande, qui oscille entre 15 000 et 20 000 hommes au début de la période[13], et dépasse 25 000 hommes avant la Première Guerre mondiale[14]. Il fait partie de la seconde ceinture fortifié des forts de Metz et connut son baptême du feu, fin 1944, lors de la bataille de Metz Le périmètre de protection du groupe fortifié Lorraine est assuré par un ensemble de positions d’infanterie, de casernes fortifiées… Aux IXe et Xe siècles[note 1], les fortifications de la cité sont renforcées, notamment par l’évêque Robert. Les remparts sont renforcés une première fois vers 1235. La ville s’entoure d’une enceinte percée de plusieurs portes où sont réemployés des blocs d’architecture et des stèles des monuments romains. La plupart portent le nom des corporations chargées de leur entretien. Après le traité de Francfort, le système défensif de Metz est complété par les ingénieurs militaires allemands, par la construction de sept autres forts, entre 1871 et 1898. François Roth, « Metz annexée à l’Empire allemand » dans François-Yves Le Moigne. Au cours du XIXe siècle, les progrès de lartillerie obligèrent les ingénieurs français à concevoir un nouveau système défensif autour de la place forte de Metz, la première ceinture fortifiée. Des tunnels souterrains relient la plupart des structures entre elles. Durant l’Annexion, Metz, dont la garnison allemande oscillera entre 15 000 et 20 000 hommes … Il connut son baptême du feu, fin 1944, lors de la bataille de Metz. Des batteries de canons sur affûts cuirassés sont construites entre les forts des première et seconde ceintures fortifiées et à l’est de la seconde ceinture : Pour protéger le front à l’est de la seconde ceinture fortifiée, quatre ouvrages d’artillerie furent construits entre 1905 et 1909. La Feste Haeseler, rebaptisée groupe fortifié Verdun après 1919, est un ouvrage militaire situé près de Metz.Constitué des forts Sommy et Saint-Blaise, le groupe fortifié fait partie de la seconde ceinture fortifiée des forts de Metz.Il connut son baptême du feu, fin 1944, lors de la bataille de Metz Cliquez sur la ligne de Bus pour connaitre les directions étape par étape avec des plans, heures d’arrivée et horaires mis à jour. Une partie de cette enceinte est toujours visible le long de la Seille. Groupe Fortifié Jeanne d'Arc . … Feste Lothringen . Ces forts, construits selon les théories de Hans von Biehler, constituent la première ceinture fortifiée de Metz. Au fort Moselle, on construit un hôpital militaire royal pouvant accueillir 2 000 malades et un corps de caserne d’artillerie. La Feste Kronprinz est l’un des groupes fortifiés les plus vastes parmi les forts messins. Situé à l’arrière des lignes pendant la Première Guerre mondiale, il subit les assauts des troupes alliées à la fin de la Seconde Guerre mondiale. François Roth, « Metz annexée à l’Empire allemand Â» dans François-Yves Le Moigne, Point d’appui des Carrières d’Amanvillers. Situé à l’arrière des lignes pendant la Première Guerre mondiale, il subit les assauts des troupes Alliées à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Point d’appui St-Vincent, entre les groupes fortifiés Lorraine et Jeanne-d’Arc. Watch Queue Queue La dernière modification de cette page a été faite le 11 janvier 2021 à 16:26. La Feste Lothringen, rebaptisé groupe fortifié Lorraine après 1919, est un ouvrage militaire situé près de Metz. René Bastien, « Metz devient une ville fortifiée ». Steinbruch-Stellung. Avant linvention de lartillerie rayée, la place de Metz était considérée comme imprenable2. Le fort de Queuleu, ou fort Goeben [note 1], est un fort militaire de la première ceinture fortifiée de Metz, construit entre 1868 et 1870.Il bénéficie de renforcements importants à partir de 1889 et sert de camp d’internement nazi durant la Seconde Guerre mondiale.. Contexte. D’autre part, de former un poste avancé dans les défenses françaises, capable de servir de base arrière à une offensive allemande. Groupe Fortifié Lorraine . La Feste Kronprinz est l’un des groupes fortifiés les plus vastes parmi les forts messins. L’enceinte, de plus de 6 000 mètres de long, compte alors pas moins de trente-huit tours carrées ou rondes[2]. L’enceinte médiévale est renforcée une seconde fois vers 1445, comme le rappelle la porte des Allemands. Pour ce point stratégique majeur pour la défense de l’empire[note 3], l’état-major allemand poursuivit sans discontinuer les travaux des fortifications jusqu’à la Première Guerre mondiale. La Feste Kaiserin, rebaptisé groupe fortifié Jeanne-d ‘Arc en 1919, est un fort de la seconde ceinture fortifiée des forts de Metz, en Moselle. Des ponts-levis à contrepoids variables remplacent les ponts dormants sur les rivières, les portes et les remparts de la place sont entièrement reconstruits. La Feste Kronprinz, rebaptisée groupe fortifié Driant en 1919, est un fort de la seconde ceinture fortifiée de Metz, en Moselle. Les fortifications de Metz et de Thionville de 1871 à 1939. Jean-Luc Baudinet évoque ces évènements. Construits selon les théories de Séré de Rivières à la fin du Second Empire et de Hans von Biehler pendant l’ annexion allemande, ils valurent à la ville la réputation d’être la première place forte du Reich allemand. À cette époque, une partie des portes et remparts médiévaux est démolie et remplacée par de nouveaux ouvrages fortifiés. Ces « casernes fortes Â», enterrées sur trois côtés, tournent le dos aux tirs ennemis, n’offrant aux regards qu’une façade appareillée pour les plus anciennes, ou bétonnée pour les plus récentes. Ouvrages d'Amanvillers . 2:02. La lunette de la Cheneau, ou fort Gisors, est construite de 1822 à 1831 . De très nombreux exemples de phrases traduites contenant "ceinture fortifiée" – Dictionnaire anglais-français et moteur de recherche de traductions anglaises. Les maisons à arcades de la place Saint-Louis ou l’église Saint-Martin sont construites sur les fondations du rempart romain. La ceinture fortifiée de Metz. Les groupes fortifiés sont systématiquement dotés de centrales électriques autonomes. This video is unavailable. Ouvrages Kellermann . La porte de France, composée de trois portes avec. Wolfsberg-Stellung . il y a 9 ans | 154 vues. Dans un premier temps, le système défensif composé de quatre forts fut complété par la construction de sept autres forts, par les ingénieurs militaires allemands, entre 1871 et 1898. Montés sur affuts blindés, les canons pouvaient être déplacés par chemin de fer ou par la route. batteries à l’est de la seconde ceinture fortifiée : batterie de Mont /Batterie Mont (1905-1907) ; La dernière modification de cette page a été faite le 4 février 2021 à 11:21. Les forts les plus anciens sont entourés de larges tranchées, véritables douves sèches dont la profondeur atteint parfois une dizaine de mètres. La Feste Kronprinz, rebaptisée groupe fortifié Driant en 1919, est un fort de la seconde ceinture fortifiée de Metz, en Moselle. Les casernes ont généralement des murs de plus de deux mètres d’épaisseur et une couverture de plusieurs mètres de terre compactée, souvent renforcée après 1900 par une chape de béton d’un à deux mètres d’épaisseur. Les dernières fortifications sont particulièrement soignées en raison de la position stratégique de cette ville entre la France et l’Allemagne. À partir de 1905, pas moins de onze ouvrages secondaires virent le jour pour renforcer le rideau défensif au nord-ouest de Metz. Les casernes, enterrées sur trois côtés, tournent le dos aux tirs ennemis, n’offrant aux regards qu’une façade appareillée pour les plus anciennes, ou bétonnée pour les plus récentes. Avant l’invention de l’artillerie rayée, la place de Metz était considérée comme im… Contexte historique. À suivre. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La lunette de la Cheneau, ou fort Gisors, est construite de 1822 à 1831[9]. Outre ces forts avancés, de nombreuses casernes de cette époque, comme les quartiers Barbot, Bridoux, Colin, Desvallières, Dupuis, Féraudy, Lattre-de-Tassigny, Lizé, Raffenel, Reymond, Riberpray, Roques, Séré-de-Rivières, Serret, Steinmetz, ou Thomassin, ainsi que de nombreux terrains militaires dans l’agglomération messine et les communes avoisinantes, rappellent le passé militaire de la ville de Metz. Feste Kaiserin . En raison de leur vulnérabilité par rapport aux groupes fortifiés de la seconde ceinture fortifiée, ce groupe d’ouvrages fut surnommé « The seven Dwarves Â», les « Sept nains Â», par les GIs de la IIIe armée américaine, au cours de la bataille de Metz, qui se déroula entre septembre et décembre 1944. Metz retrouve son rôle de place forte frontière, dès les premières années de la Restauration. Les forts sont généralement composés d’une ou plusieurs « casernes fortes Â», entourées de casemates ou de blockhaus plus petits. Parmi celles-ci, il convient de citer les casernes Ney, Barbot, de Lattre de Tassigny, Desvallières, Steinmetz, Grandmaison, Bridoux, Serret, Raffenel, Roques, Dupuis, Roques, Colin, Riberpray, Lizé et Raymond. Les forts les plus anciens sont entourés de larges fossés, véritables douves sèches, dont la profondeur atteint par endroits une dizaine de mètres. Property Value; dbpedia-owl:abstract: La Feste Mercy, rebaptisée Feste Freiherr von der Goltz en 1911, puis groupe fortifié La Marne en 1919, est un ouvrage militaire situé près de Metz, dans le bois entre Jury, Mercy et Ars-Laquenexy. Au sud-ouest, où l’on attend l’attaque française, pas moins de sept ouvrages secondaires sont construits entre 1912 et 1916, entre les Feste Kaiserin et Kronprinz. Pour ces travaux exceptionnels, le maréchal Niel affecte spécialement une somme de douze millions de francs or[2]. Les forts de Metz constituent deux ceintures fortifiées autour de la ville de Metz en Lorraine. La Feste Kronprinz, rebaptisée groupe fortifié Driant en 1919, est un fort de la seconde ceinture fortifiée de Metz, en Moselle. Une charte de 880 atteste l’existence de ces murailles. Dans les années 1890, Metz devient la plus grande place forte d’Europe[12]. Au cours du XIXe siècle, les progrès de l’artillerie obligèrent les ingénieurs français à concevoir un nouveau système défensif autour de la place forte de Metz, la première ceinture fortifiée. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Des casemates de flanquement, armées de canons ou de mitrailleuses, et des observatoires, renforcent souvent le dispositif défensif. Carte interactive des anciens remparts de Metz, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Fortifications_de_Metz&oldid=178682799, Bâtiment de Sébastien Le Prestre de Vauban, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Victor Simon, « Rapport sur le mémoire de. 1912-1916. Au cours du XIX e siècle, les progrès de l’artillerie obligèrent les ingénieurs français à concevoir un nouveau système défensif autour de la place forte de Metz, la première ceinture fortifiée. Forts de la première ceinture fortifiée, « Metz et son corps d’armée constituent une pierre angulaire dans la puissance militaire de l’Allemagne, destinée à protéger la paix de l’Allemagne, voire de toute l’Europe, paix que j'ai la ferme volonté de sauvegarder Â», À ne pas confondre avec les ouvrages français de la, Parmi ces généraux et officiers allemands nés à Metz, pour la plupart actifs pendant la. Avant l’invention de l’artillerie rayée, la place de Metz était considérée comme imprenable. Situé à l’arrière des lignes pendant la Première Guerre mondiale, il subit les assauts des troupes Alliées à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Avant l’invention de l’artillerie rayée, la place de Metz était considérée comme imprenable[10]. Enfin, un réseau téléphonique centralisé reliait l'ensemble de ces sites à l'état-major de la place. Paradoxalement, la ville fortifiée ne fut que peu touchée par les combats de la Première Guerre mondiale, hormis les bombardements aériens de l'aviation française[8]. L’empereur Guillaume II, qui venait régulièrement à Metz pour inspecter les travaux, déclara à ce propos « Metz et son corps d’armée constituent une pierre angulaire dans la puissance militaire de l’Allemagne, destinée à protéger la paix de l’Allemagne, voire même [sic] de toute l’Europe, paix que j’ai la ferme volonté de sauvegarder[11]. Devant la Feste Lothringen, plusieurs autres ouvrages d’infanterie sont construits, l’ouvrage de Fèves, d’Horimont I, II, III (Canrobert), d’Amanvillers et de Vémont (Richepance). En septembre 1944, les forts situés à l'ouest de Metz, occupés par les troupes allemandes, ont résisté pendant plusieurs semaines aux offensives américaines. Ces fortifications sont particulièrement soignées en raison de la position stratégique de cette ville entre la France et l’Allemagne. Coordonnées 49° 04′ 22″ nord, 6° 02′ 49″ est. Le maréchal Niel affecte une somme de douze millions de francs or à la construction de ces forts, qui débute dans l’urgence en 1868[10]. Un tribunal militaire, une école de guerre, de nombreuses dépendances et plusieurs arsenaux complétaient par ailleurs ces infrastructures militaires. À la veille de la Première Guerre mondiale, Metz était donc devenue l'une des premières places fortes au monde[7]. It is part of the second fortified belt of the city of Metz, built by the Germans as part of the fortified system ′′ Moselstellung ′′ from 1899 to 1916, a true ancestor of the Maginot line, and with a impressive … À partir de 1900, le béton armé remplace définitivement les façades en pierres de taille. Cette catégorie regroupe les articles sur les forts et les groupes fortifiés composant les deux ceintures fortifiées de la ville de Metz en Lorraine.Construits selon les théories de Séré de Rivières à la fin du Second Empire et de Hans von Biehler pendant l’annexion allemande, ils valurent à la ville la réputation d’être la première place forte du Reich allemand. 1912-1916. Pendant l’Annexion, Metz, dont la garnison allemande oscille entre 15 000 et 20 000 hommes au début de la période et dépasse 25 000 hommes avant la Première Guerre mondiale, devient progressivement la première place forte du Reich … Signaler. Suivre. Un corps de caserne de cavalerie est construit à Chambière de 1732 à 1736. Les forts pouvaient en outre appuyer de leurs feux, les mouvements des troupes, lors des manœuvres à l’extérieur de ce camp retranché. L’empereur Guillaume II, qui venait régulièrement à Metz pour inspecter les travaux, déclara à ce propos « Metz et son corps d’armée constituent une pierre angulaire dans la puissance militaire de l’Allemagne, destinée à protéger la paix de l’Allemagne, voire de toute l’Europe, paix que j'ai la ferme volonté de sauvegarder Â»[3]. L’histoire des fortifications de Metz, en Lorraine, remonte au IIIe siècle de notre ère, pour se terminer au XXe siècle. La première ceinture fortifiée de Metz se compose des forts de Saint-Privat (1870), de Queuleu (1867), des Bordes (1870), de Saint-Julien (1867), Gambetta, Déroulède, Decaen, de Plappeville (1867) et du Saint-Quentin (1867), la plupart inachevés ou à l’état de projet en 1870, lorsque la Guerre Franco-prussienne éclate. L’objectif de cette première ceinture était de tenir à distance l’assaillant, l’obligeant à s’établir à une distance telle que la ville au cœur du dispositif ne pouvait plus être directement bombardée. Ces forts, déjà entourés de fossés et d'un réseau dense de fils de fer barbelés, ont parfois été renforcés par des pieux antichars, après 1930. Avant l’invention de l’artillerie rayée, la place de Metz était considérée comme imprenable[2]. A bit of history: La Feste Wagner, renamed ′′ Groupe Fortifié de l ' Aisne ′′ by the French, was built under the first annexation of La Moselle, from 1904 to 1910, south of Metz. Beaucoup d’officiers allemands, appartenant à l’aristocratie militaire prussienne, s'installent à Metz avec leur famille. Cormontaigne fait édifier en 1737 la redoute de la Seille selon les plans de Vauban : un fort bastionné en avant des fortifications, à l’emplacement de l’ancien amphithéâtre gallo-romain[7]. Divodurum est une ville fortifiée depuis l’antiquité. À la chute de l’Empire romain, les fortifications tombent en ruine ou sont intégrées à l’habitat urbain. Situé à l’arrière des lignes pendant la Première Guerre mondiale, il subit les assauts des troupes alliées à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Les forts détachés et les groupes fortifiés de l’agglomération messine furent épargnés durant la Première Guerre mondiale, mais prouvèrent tout leur potentiel défensif au cours de la bataille de Metz, à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Finalement, ces fortifications du XIXe siècle et du début du XXe siècle ne prouveront leur potentiel défensif qu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Cette catégorie regroupe les articles sur les forts et les groupes fortifiés composant les deux ceintures fortifiées de la ville de Metz en Lorraine.Construits selon les théories de Séré de Rivières à la fin du Second Empire et de Hans von Biehler pendant l’annexion allemande, ils valurent à la ville la réputation d’être la première place forte du Reich allemand. Les fortifications de Moselle & d'Alsace de 1871 à 1939. adj. batteries à l’intérieur de la première ceinture fortifiée : batterie de Queuleu, à l’arrière du fort de Queuleu ; batteries à l’intérieur de la seconde ceinture fortifiée ; batterie du trou du lièvre, à l’est des forts. Toute une infrastructure routière et ferroviaire a, par ailleurs, été spécialement créée pour desservir les différents sites militaires. Pour ces travaux exceptionnels, le maréchal Niel affecte spécialement une somme de douze millions de francs or2.